Vassula en Roumanie Oradea |
Rapport sur la mission de Vassula en Roumanie en juin 2000
Une fois encore, nous rendons grâce à Dieu de nous avoir fait connaître, à travers Sa Miséricorde, Son uvre « La Vraie Vie en Dieu », pour répandre sur toutes les nations Son parfum. Soyons conscients de ce que Dieu nous offre et ouvrons nos oreilles à la voix de la Sainte Sagesse qui nous appelle continuellement au repentir, à la réconciliation et à lunité.
En 1989, la veille de Noël, Vassula avait reçu du Seigneur une prophétie concernant la Roumanie, qui montrait que Son Eglise allait être rétablie et reconstruite, après tant dannées dagression par le communisme. Le Seigneur promettait à la Roumanie quavec Son souffle puissant, Il renverserait ses ennemis qui lavaient soumis à lesclavage. A la suite de cela, Vassula a eu une vision. Elle voyait le Seigneur qui regardait den haut la Roumanie et elle a entendu le Seigneur dire à la Roumanie : « Ne pleure plus, petite, car Moi le Seigneur Je rebâtirai tes ruines et Je te multiplierai pour porter témoignage de Mon Nom. Je te ferai voir de grandes choses sous Mon Nom. Enfin libre ! Libre de venir à Moi, ton Sauveur et de vivre dans Mon Sacré Coeur. De Ma Lumière, Je poursuivrai tes ennemis qui sont aussi Mes ennemis. Ne pleure pas tes enfants qui ne sont plus, car aujourd'hui Je t'annonce que J'ai placé chacun d'eux dans les profondeurs de Mon Coeur. »
Dans une autre vision que le Seigneur a eu la bonté de donner à Vassula, elle voyait le toit dune maison, et sur le toit il y avait un homme qui tirait de toute ses forces une corde à laquelle était attachée une lourde croix ; on aurait dit du béton. Lhomme essayait avec toutes ses forces de la poser sur le toit de cette maison. Le Seigneur a fait comprendre à Vassula que Son Eglise serait rétablie en Roumanie et que lorthodoxie y fleurirait de nouveau.
En 1994 une délégation cuménique partait de Genève pour la Roumanie, à Iasi, avec la participation de plusieurs autres églises venant du monde entier. Tous étaient invités par le Métropolite Daniel de Moldavie et Boukovine. Vassula y était également invitée, pour présenter le côté mystique de lEglise. En réalité, guidée par lEsprit Saint, sa mission à Iasi était non seulement de partager quelques extraits de messages que le Christ lui a donnés sur lunité, mais aussi de faire figurer à lagenda des participants, le devoir dunifier les dates de Pâques. Cela na pas été sans peine, mais Vassula a réussi à leur faire porter l'unification des dates de Pâques à l'agenda de l'oecuménisme ; avec laide du Christ cela a été possible.
Une autre prophétie frappante sur la Roumanie, était donnée à Vassula en 1994. Au moment même, cette prophétie nétait pas claire, puisqu'elle ne mentionnait pas de date ni de nom. Mais elle montrait que quelquun de lEglise de lEst se montrera généreux envers son frère de lEglise de lOuest en faisant le premier pas vers lunité. Il invitera ce frère à venir sur sa terre et à partager sa table. Voici la prophétie telle quelle est donnée : "...De l'Est, Je hâterai un coeur généreux qui, dans sa loyauté, scellera un pacte de paix avec l'Ouest..." (5.10.1994)
" ...Dans Ma Miséricorde et à cause de Mon Amour,
J'en lèverai de l'Orient au moins un qui dira à son
frère : « viens marcher sur ma terre ; viens
manger de ma table ; viens boire avec moi ;mes cuves
débordent de vin nouveau. Paissons ensemble nos agneaux et
faisons de nos pâturages un Eden ; [
]
La gloire brillera de la rive Est. C'est pourquoi, Je dis
à la Maison de l'Ouest, tourne tes yeux vers l'Est. Ne pleure
pas amèrement sur l'apostasie et la destruction de ta Maison. Ne
cède pas à la panique car demain, tu mangeras et boiras,
ensemble avec Ma pousse de la rive Est. Mon esprit vous
réunira. " (vveD 24.10.1994)
Avec la venue du pape Jean Paul II en Roumanie en mai 1999, le Patriarche Théoctiste a prouvé au monde entier sa souplesse et sa bonne volonté pour faire avancer lUnité, accomplissant ainsi la prophétie des 5 et 24 octobre 1994. Ils ont dailleurs tous deux reçus certains messages sur lunité, ainsi que la prophétie concernant la Roumanie.
La première invitation demandant à Vassula de témoigner en Roumanie lui arriva voici un an de la ville dOradea, au nord-ouest du pays, non loin de la frontière avec la Hongrie. Ce nest quune année plus tard que cette invitation put se réaliser, coïncidant avec la fête orthodoxe de la Trinité et le dimanche de la Pentecôte, soit les 18 et 19 juin 2000. Vassula devait rencontrer ce même dimanche, à Bucarest, le Père Galeriu. Celui-ci, considéré comme le plus grand père spirituel de la Roumanie, est au courant, tout en lappréciant, du charisme de Vassula. Lors du voyage du pape dans ce pays en mai 1999, le journal La Croix avait publié une interview avec lui. Le jour de la Pentecôte, Vassula se rendit tôt le matin à léglise Saint Sylvestre où le père Galeriu lattendait. Peu à peu, léglise fut comble. La liturgie et les lectures durèrent environ cinq heures. Vers la fin de la divine liturgie, le père Galeriu a demandé à Vassula de dire quelques mots aux fidèles. Ce fut une délicieuse surprise pour Vassula qui ne sattendait pas à cette demande. Le père Galeriu la présenta aux fidèles, puis Vassula parla de la puissance et de leffusion du Saint Esprit. Il était clair quil y avait dans la foule, des gens qui semblaient la connaître, car en sortant, ils lui demandèrent sil ny avait pas de nouveaux livres. Elle reçut également une nouvelle invitation pour revenir faire une conférence à Bucarest. La présence de Dieu était manifeste pendant cette mission de Vassula, lui donnant toujours des occasions pour témoigner. Dieu seul peut ouvrir de si grandes portes, sans aucun effort de la part de son instrument.
A son arrivée à Oradea, Vassula avait rendez-vous avec lArchevêque greco-catholique, Monseigneur Virgil Bercea. Mais l'avion de Vassula eut au départ trois heures de retard, et elle manqua son rendez-vous avec Mgr Virgil : il venait de quitter son bureau dix minutes plus tôt. Vassula demanda alors aux organisatrices de lemmener au domicile de Mgr Virgil. Celles-ci étaient un peu ennuyées car déranger un archevêque chez lui après avoir raté un rendez-vous, même si cela nétait pas de leur faute, nétait pas très orthodoxe. Mais vu linsistance de Vassula, elles ont accepté de se rendre à son domicile. La porte souvre et elles se trouvent face à un jeune monsieur en pantoufles, habillé en civil, surpris comme elles. Tous se regardèrent pendant quelques secondes sans rien dire puis à la fin Mgr Virgil leur a dit de rentrer en sexcusant de son allure. Etait-ce son habit non officiel qui fut la cause de latmosphère simple et familial qui régna ensuite ? Toujours est-il quils se retrouvèrent tous à discuter comme de vieux amis et Mgr Virgil ne semblait pas du tout pressé de retourner à son dîner interrompu.
Le deuxième ecclésiastique que Vassula a rencontré à Oradea fut le vicaire orthodoxe, le Père Bota. Lui aussi était ouvert envers la Vraie Vie en Dieu.
Vassula put constater une grande différence entre les orthodoxes roumains et les orthodoxes grecs concernant lacceptation des charismes. Chez plusieurs grecs orthodoxes, on trouve une grande étroitesse desprit lorsqu'il sagit dune femme laïque ayant un charisme, surtout le charisme de locutions, et très peu sont ceux qui laissent lEsprit Saint libre de souffler où Il veut. Tandis que chez les orthodoxes roumains, Vassula remarque que lEsprit Saint peut souffler librement.
Les deux réunions que Vassula donna à Oradea, le lundi 19 juin 2000, dabord aux Hongrois en fin de matinée, puis ensuite aux Roumains laprès-midi, ont été reçues avec joie, et les gens furent très attentifs. Une remarque dun orthodoxe fut que le message et le témoignage étaient identiques à la Sainte Ecriture, mais quils étaient donnés avec une fraîcheur toute nouvelle et délicieuse, différente de ce que les Orthodoxes étaient habitués à entendre. Selon lui, tout devenait clair et les Ecritures aussi. Rendons grâce à Dieu. Que lEsprit Saint souffle sur Son Eglise et la renouvelle dune nouvelle Pentecôte.
P. R.
Compte rendu du voyage de Vassula en Roumanie en juin
2000
Rapport de Sorina Todor
La première fois que j'avais entendu parler de Vassula c'était
en France, juste après la Révolution en 1990, quand une amie
m'avait donné à lire un livret avec des messages. Ma première
impression avait été d'assister à un renouveau du Cantique des
Cantiques tellement il me semblait que Jésus comblait d'amour,
de métaphores, de poésie et d'espoir romantique l'intimité
entre notre âme et son époux. Ce ne sont que les amoureux qui
gardent toujours l'espoir que leur amour ne meurt jamais.
Quatre ans après, j'ai rencontré à Oradea un ancien moine
nommé Zoltan Hoszu, issu du temple de Bouddha, et, grâce aux
messages de Vassula, converti par la suite au christianisme. Il
prétendait et il prétend toujours qu'on lui avait donné une
mission, celle de propager ces messages dans ce coin de la
Roumanie, la ville de Oradea et ses alentours.
Située au Nord Ouest de la Roumanie, à la frontière hongroise,
cette région est située au carrefour de plusieurs cultures,
religions et traditions, ce qui a facilité la diffusion des
messages, "ces lettres d'amour" que Jésus écrit pour
nous, l'humanité d'aujourd'hui. D'autant plus que les Hongrois
vivant à Oradea, les Gréco/Catholiques et les Catholiques
avaient déjà entendu parler des messages grâce aux traductions
en italien et en hongrois. Ce ne fut pas le cas des Roumains
Orthodoxes auxquels la religion Orthodoxe très traditionaliste
interdisait plus ou moins de croire à de pareils miracles. Dans
le discours de Vassula l'après-midi à Oradea j'ai bien ressenti
cette vérité lors de la question adressée à la salle entière
: "A-t-on enterré le Seigneur il y a 2000 ans?...
N'est-Il plus vivant?... Ne peut-Il plus parler de nos jours
encore?..."
Avant l'arrivée de Vassula en Roumanie, accompagnée par
Monsieur Joseph Guigou de France, responsable de la Vraie Vie
en Dieu en Roumanie, Nous, les trois organisateurs de la
réunion d' Oradea, Zoltan d'une part, moi Sorina et Maria,
professeurs au Lycée Pédagogique de l'autre, nous avons
entrepris de rencontrer des groupes de croyants, Zoltan pour la
partie hongroise et nous pour la partie roumaine, en distribuant
des messages photocopiés d'après le seul exemplaire qu'on
possédait. On avait essayé de présenter le "phénomène
Vassula" à tous ceux qui étaient interessés, y compris à
des gens d'Eglise, Evêques et Prêtres. Grâce à des gens de
bonne foi nous avons obtenu des aides matérielles pour louer la
salle et pour pourvoir à d'autres besoins concernant la
réunion. Quand Vassula nous a demandé d'organiser des
rencontres avec les chefs des Eglises représentatives d' Oradea,
on a bien craint leur refus. A l'Archevêché Orthodoxe on a
rencontré une grande méfiance : "et si derrière tout
cela a se cachait le New Age?....Nous avons l'Evangile, la
tradition. A quoi ça sert les messages?.... Et c'est impossible
que les Orthodoxes soient réunis avec des Protestants!"
Finalement c'est le Vicaire qui a accepté de recevoir Vassula
pour des raisons subjectives : il aimait la culture grecque et
Vassula était d'origine grecque.
Vint le jour de l'arrivée de Vassula à l'aéroport d' Oradea,
le premier jour de la Pentecôte Orthodoxe. On avait vu là un
signe, un cadeau, le fait que le Seigneur ait daigné venir à
Oradea par un jour de fête pareil considéré par les Roumains
comme de secondes Pâques. En plus, dans les messages on parlait
souvent d'une seconde Pentecôte à la fin des temps. C'était le
18 juin 2000 le jour de l'arrivée de Vassula, et le soir on
avait rendez-vous avec l'Evêque Gréco-Catholique à 18h.30 et
avec les éléves du séminaire Gréco-Catholique dans la
Chapelle St.Nicolas, à 19h.30.
Des roses jaunes dans les bras, les 3 organisateurs et deux
autres admirateurs de Vassula, nous nous sommes rendus à
l'aéroport pour l'accueillir à 17h.10. Au lieu de cela, l'avion
a atterri à Oradea à 21h. le soir, soit un retard de presque 4
heures. Selon les dires de Vassula : "J'étais sûre
qu'il allait se passer quelque chose, comme d'habitude, pour nous
empêcher d'arriver à temps. Une autre fois c'était le taxi qui
manquait de carburant".
Dès que je l'ai aperçue, j'ai ressenti une grande paix et en
même temps une timidité face à ce regard profond qui imposait
un certain silence et qui me rappelait celui du Christ dans une
image qui trônait chez moi depuis des années.
En tout cas, même si on doit traiter Vassula comme quelqu'un de
normal, on sait qu'en sa présence on se defend de parler de
choses futiles, car tout son être appelle d'une façon
inexprimable par une certaine majesté, à une nostalgie d'un
au-delà et quand elle sourit c'est comme dans les Psaumes de
David, il y a quelque chose qui fleurit en nous aussi.
Malgré l'heure avancée de la soirée Vassula a insisté pour
aller rencontrer l'Evêque de l'Eglise Gréco-Catholique chez
lui. Ce fut une belle rencontre car l'Evêque Virgil Bercea nous
a reçues, Vassula, moi et Maria, un sourire très accueillant
sur les lèvres et l'esprit ouvert au dialogue oecuménique. Il
avait déjà lu les messages en italien à Rome et il nous a
avoué qu'il ne comprenait pas pourquoi l'union de la date des
Pâques et celle des Eglises était toujours retardée, car lui
personnellement était très optimiste parce que les Laïques
faisant le premier pas vers la rèconciliation, les gens d'Eglise
allaient les suivre bientôt. Vassula a décrit devant l'Evêque
Gréco-Catholique d'Oradea l'une de ses visions sur le
Saint-Esprit: "Il souriait, je savais qu'il souriait
même si je ne voyais pas sa bouche. C'étaient ses yeux que je
pouvais apercevoir et quand quelqu'un sourit, ses yeux sourient
aussi. Il était tout brillant et il avait comme une lumière qui
venait du dedans et qui l'entourait à l'ext;rieur aussi et même
si je ne voyais pas bien ses traits, qui étaient comme estompés
à cause de cette lumière brillante, je savais comment il
était. Il avait des traits comme une personne humaine".
Ce soir là il y a eu une entente très chaleureuse entre Vassula
et le chef de l'Eglise Gréco-Catholique siégeant à Oradea. Il
avait prié Vassula d'expliquer la facon dont elle recevait les
messages. A la fin du rendez-vous, l'Evêque a offert à Vassula
un CD avec de la musique liturgique et l'a embrassée en lui
donnant sa bénédiction.
On est alors parti directement à la maison de Maria ou Vassula
et monsieur Guigou devaient être accueillis.
Le lendemain on a laissé nos invités se reposer des fatigues du
voyage et on s'est donné rendez-vous à la Maison de la
Culture des Syndicats où avait lieu la rencontre avec des
croyants de Budapest à 11h.30. Ayant été retenus à la douane
ils sont arrivés une heure en retard ce qui a obligé Vassula à
raccourcir son discours parce qu'elle avait rendez-vous avec des
représentants de l'Eglise d'Oradea à 13h. C'était juste après
la messe du deuxième jour de Pentecôte. Peut-être que les
Hongrois ont été déçus du départ précipité de Vassula de
la salle mais j'ai constaté qu'elle était d'une ponctualité
admirable en tout ce qu'elle se proposait de faire.
La réunion avec les Hongrois de Budapest a été passée sous
silence dans la presse et sur les affiches car Vassula désirait
que tous les Hongrois qui parlaient roumain viennent
l'après-midi à la grande réunion dans la même salle et qu'on
soit là tous, rassemblés dans un esprit oecuménique.
Le rendez-vous avec Le Père Vicaire Bota de l'Eglise Orthodoxe
de Oradea a été cordial et poli mais moins chaleureux que celui
avec l'Evêque Gréco-Catholique. Une fois de plus on pouvait
constater à quel point l'Eglise Orthodoxe, malgré sa tradition
et ses profondeurs manquait encore d'ouverture au dialogue avec
les autres Eglises. La conversation de Vassula avec le Père
Vicaire et un autre Prêtre orthodoxe, le Père Lucian, m'avait
rappelé la vision que Jésus avait donné à Vassula sur les
trois barres de fer qui devaient s'incliner en même temps au nom
de l'amour si l'on voulait que l'unité devienne un fait
accompli, alors que les représentants de l':Eglise Orthodoxe
avaient l'air de suggérer que les autres Eglises devaient
s'incliner devant la majesté et l'authenticité de l'Eglise
Orthodoxe en lui reconnaissant la priorité de l'Eglise
primitive, la seule au commencement des temps, avant que l'Eglise
Catholique ne se détache d'elle.
Même si Vassula avait affirmé devant une journaliste qu'elle
avait trouvé les gens d'Eglise tout ouverts au dialogue, on
pouvait ressentir encore toute la réticence des prêtres
orthodoxes devant l'accomplissement réel de l'unité et par
là/même, le peu d'intérèt qu'ils ont accordé à la lecture
des messages qui leur ont été distribués bien longtemps avant
l'arrivée de Vassula à Oradea.
A 17h. Vassula est entrée dans une salle de 700 personnes
presque bondée de croyants de toutes les confessions venus
l'écouter.
Maria a fait une belle présentation de la vie de Vassula avant
et après la rencontre de Dieu. Quand Vassula a commencé à
parler, la salle était encore bruyante et agitée mais peu de
temps après tout était calme, tous avaient l'air émus et très
intéressés par ce que Vassula leur disait.
On a apprécié le caractère ordonné, méthodique et bien
explicité de son exposé et surtout la citation de certains
messages sur ce que c'est qu'aimer et prier, d'une beauté
inouïe. On entend encore à travers Vassula l'appel de Dieu à
L'aimer, à languir de Lui, à avoir soif de Lui, à Le chercher
avant toute chose.
A la fin, on avait des larmes aux yeux, des bouquets de fleurs
plein les bras et toute une foule qui s'empressait près de la
porte de sortie de Vassula. J'avais retenu la présence de
quelques catholiques qui avaient voulu remercier Vassula de ces
mots divins, remplis d'espoir et de tendresse. En ces instants
là, nous avons tous été touchés par la grâce divine, par
cette douceur de Dieu dont parlait Vassula après nous avoir
assurés que ceux qui se trouvaient dans la salle cet après-midi
là étaient tous appelés par le Saint Esprit.
Vassula a rencontré une journaliste qui l'a interviewée sur son
séjour en Roumanie, surtout que le lendemain, mardi matin, elle
allait partir à nouveau vers Bucarest.
Avant de se séparer, Vassula nous a fait la recommandation de
constituer des groupes de prière "La Vraie Vie en
Dieu" à Oradea et aux alentours, sinon sa venue à
Oradea resterait un fait isolé, sans continuité.
Sorina Todor
Vassula în Romania Casa de Cultura a Sindicatelor |
luni 19 iunie 2000 | 11.00 | Magyar | Igaz élet Istenben | webart@matavnet.hu | |||
17.00 | Romaneste | popade@rdsor.ro |
Sorina Todor | ++40 9560 4753 |
e-mail: | popade@rdsor.ro |
Editura
Arhetip-RS - Renasterea Spirituala CP 69 OP 77 Bucuresti, sector 3 cod 74300 e-mail : arhetip13@angelfire.com |
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Îngerul meu Daniel |
Igaz élet
Istenben, Jézus beszélgetései Vassulával, 1993, Vol. I - II Marana Tha sorozat 26 Kiado : Az Emmausz Katolikus Karizmatikus Közösség, Budapest Fax : ++36 1 201 59 78 Szállítók : Mézekalácsbolt, Magyarország 1122 Budapest Csaba u 3 Tel : ++36 1 355 06 07 e-mail : webart@matavnet.hu |
Enigma
Vassula În comunicare directa cu Dumnezeu ? Jacques Neirynck, 1997 © Copyright 2000 Editura Arhetip-RS - Renasterea Spirituala CP 69 OP 77 Bucuresti, sector 3 cod 74300 e-mail : arhetip13@angelfire.com |
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