Vassula au Lesotho
en janvier 1999
par Evelyn Lebona

Mercredi 13 janvier 1999
18h30
Vassula est-elle vraiment sur le point de débarquer sur cet aéroport de Bloemfontein, en Afrique du Sud, pour visiter le Lesotho ? Vais-je me réveiller pour découvrir que ce n'était qu'un rêve ? Soudain, le haut-parleur me fit sursauter : " le vol SA807 en provenance de Johannesburg vient de se poser. " Mon coeur se mit à battre très fort, mon pouls s'accéléra, mes mains étaient molles et moites. L'avion s'immobilisa. Enfin, les portes s'ouvrirent. Un à un, les passagers descendaient sur le tarmac. Soudain, c'était elle ! Vassula était vraiment arrivée ! Grâce à Dieu ! Enfin, elle entra dans le terminal. Il y eut des embrassades et des présentations... Vassula, accompagnée de Georgia Braun, amie Grecque orthodoxe de Monaco, fut accueillie par Ulla Barak, originaire d'Allemagne et résidant au Lesotho, et par l'auteur de ces ligne, Evelyn Lebona. Cinq minutes plus tard, Norman Servais arrivait à son tour, par un autre vol, de la ville du Cap de Bonne Espérance, pour filmer en vidéo la visite de Vassula au Lesotho.

Il y avait plus de bagages que n'en pouvait emporter la voiture ; mais la Providence nous sourit et vint à notre secours : M. Tsepo Mokuku, de Maseru, emmena Norman et le conduisit avec une partie des bagages directement au Maseru Sun Cabanas Hotel. Quant à nous, nous avons été emmenés tous les quatre au Lesotho Sun Hotel où devait séjourner Vassula et Georgia. Les 145 km de route donnèrent l'impression de n'être que 45 km, tant nous avons parlé des préparatifs en cours, du programme et, surtout, des souvenirs des années 80, lorsque Vassula vivait avec son mari et ses deux fils à Maseru, au Lesotho.

Mardi 14 janvier 1999
C'est le jour fixé pour la grande réunion qu'a fait le Seigneur ! Nous nous réjouissons d'avance de ce qu'elle nous réserve.

12h00
Vassula avait rendez-vous avec Norman ; Georgia et moi étaient également présentes. Il fallait discuter du contenu, de la forme et du style de la vidéo de présentation couvrant la visite de Vassula au Lesotho, que devait réaliser Norman. Ensuite, Norman déambula à loisir dans les alentours, faisant ample moisson de prises vues de Maseru pour documenter la vidéo.

17h15
Ad Lebona vint prendre en charge Vassula et Georgia pour les amener au lieu de la grande réunion, au centre des conférences du Maseru Sun Cabanas Hotel, 12 Orpen Road, à Maseru. La salle avait été soigneusement préparée. La journée était très chaude, aussi on avait disposé sur des tables, tout autour de la salle et sur l'estrade, de grandes carafes d'eau glacée et des verres. Au fond de la salle, d'autres tables étaient couvertes des livres de la vraie vie en Dieu qui seraient mis à disposition après la réunion.

17h30
Le père Thomas Manyeli O.M.I., prêtre catholique mosotho, des Oblats de Marie Immaculée, théologien de formation, lecteur senior attitré à l'Université Nationale du Lesotho ainsi qu'au Grand Séminaire St Augustin, à Roma, au Lesotho, ouvrit la réunion par une prière en anglais et en sesotho (langue du Lesotho). Après une chaleureuse bienvenue à tous ceux qui étaient venus — rassemblement très oecuménique d'Orthodoxes, de Catholiques, d'Anglicans, de Méthodistes, d'Evangélistes et d'autres encore —, il fit entonner en sesotho l'hymne au Saint Esprit "Tlo Hle Moea O Halalelang".

Puis, pour disposer nos intellects et nos esprits à assimiler le message que nous allions recevoir de Vassula, on chanta un autre hymne, en anglais :

"Aide-nous, ô Dieu, à entendre Ta Parole ;
garde-nous de l'orgueil religieux et de l'étroitesse d'esprit,
afin que nous puissions reconnaître
l'amour de Dieu pour toute l'humanité."

Evelyn Lebona fit alors une brève présentation de Vassula, auparavant femme du monde, championne de tennis et peintre, ayant vécu à Maseru de 1982 à 1984, devenue l'une des grandes mystiques de ces dernières années du 20^e siècle. Sa tournée en Afrique avait débuté le 7 janvier 1999 au Kenya, puis se poursuivit en Zambie et enfin au Lesotho, d'où elle repartira directement chez elle, en Europe.

Enfin, Vassula fut invitée à s'approcher du podium, pour donner son témoignage tant espéré et attendu, et c'est sous les acclamations qu'elle s'approcha.

La traduction simultanée de Vassula durant la réunion était assurée par le père Manyeli. Les paroles de Vassula en anglais furent ainsi traduites avec précision en excellent sesotho, le père Manyeli exprimant avec grande lucidité, grâce à son exceptionnelle formation, les concepts théologiques, bibliques et philosophiques énoncés en anglais par Vassula. Grâce à cette excellente traduction, même les non-initiés purent ainsi comprendre pleinement le message transmis par Vassula dans sa simplicité et toute sa profondeur.

Lorsqu'au début de son témoignage, Vassula nous dit qu'elle avait reçu, le matin-même, un message de Jésus Christ, il se fit un grand silence dans l'attente de ce qui allait être dit. Vassula nous lut le message :

- Seigneur ?

- Je suis ; Mon amour fidèle n'abandonnera personne ; Je ne laisserai personne affamé de Mes bénédictions ; Je bénis chaque nation dans laquelle Je t'envoie, et je répands sur son peuple les grâces sanctifiantes des flammes ardentes de l'amour de Mon Sacré Coeur ; aussi, garde-moi enfermé dans ton coeur, comme Moi Jésus Je t'ai enfermée dans le Mien ; sois heureuse, Mon enfant, et sens-toi aimée de Moi ton Sauveur.

ic

Ce message fut accueilli avec enthousiasme. Vassula retraça ensuite son genre de vie avant sa conversion, jusqu'à la dimension et au niveau actuels de sa vie spirituelle. Parmi les points évoqués, elle nous parla de l'accompagnement par son ange gardien Daniel ; de la gentillesse et de la douceur de Dieu, de l'intimité filiale avec Dieu, véritable père, "Abba", c'est-à-dire "Papa" ; de son long apprentissage du "Notre Père"— que nous devons prier en nous concentrant et en pensant à la Personne à Qui nous nous adressons — ; de l'étendue de l'amour (pour nos ennemis comme pour notre prochain) ; de la prière du Rosaire — prière qui enchaîne Satan — ; de l'imminente effusion du Saint Esprit ; du rôle merveilleux joué dans nos vies par la Bienheureuse Vierge marie, notre Mère, notre Avocate, de son action incomparable pour nous conduire à Son Fils Jésus ; de la prière — du coeur et non seulement des lèvres —, exercice spirituel revitalisant, surtout lorsque poursuivi quotidiennement avec ténacité, et qui procure d'abondantes et multiples grâces dans la vie de celui qui la pratique. La Foi, l'Espérance et la Charité sont les constituants de la vraie vie en Dieu.

Le témoignage de Vassula fascina l'auditoire par sa simplicité et sa profondeur. Lorsqu'elle eut terminé, la salle fut secouée par un tonnerre d'applaudissements. Oui, Dieu le divin Potier choisit Lui-même Son "argile" ; Il la modèle comme cela Lui plaît, où, quand et comme Il le veut. Vassula est une partie de cette argile, patiemment modelée par Lui au cours des années.

Toujours au pupitre, Vassula, mena en araméen une dizaine du chapelet (un Notre Père et dix Je vous salue Marie), le cinquième Mystère Joyeux du Rosaire. Ce fut émouvant d'entendre ces prières dites dans la langue que parlait Jésus.

Immédiatement après, Vassula pria le Saint Esprit, lui demandant notre guérison. Instinctivement, beaucoup se mirent à genoux avec déférence et obéissance au Saint Esprit. Une minute de prière silencieuse intensifia cette communion avec le Saint Esprit. Tandis que l'assemblée était encore plongée dans sa profonde méditation, on entonna le grand hymne d'appel à l'effusion du Saint Esprit dans nos âmes, le Veni, Creator Spiritus — Viens Esprit Créateur —, qui fut chanté d'abord en sesotho "Tlo Moea Mopi Oa Rona...", puis en anglais.

Le père Gabriel Tlaba O.M.I. prêtre catholique mosotho, ancien lecteur en Philosophie à l'Université Nationale du Lesotho, au Grand Séminaire St Augustin et à St John Vianney (Afrique du Sud), actuellement directeur général de l'Institut Mazenod et des Presses Mazenod, remercia Vassula au nom de toute l'assemblée, dont il exprima les sentiments avec une splendide éloquence.

Cette journée bénie s'acheva aux accents de l'Hymne national du Lesotho, dont le second verset est une prière :

Puis l'assemblée quitta la salle en chantant :

"Lie-nous, Seigneur,
de cordes qui ne peuvent être rompues...
lie-nous tous ensemble par l'amour !"

Une collecte était faite à la sortie pour couvrir les dépenses. Vassula se trouva entourée de tous ceux qui voulaient l'approcher, et elle se prêta gracieusement aux poignées de mains de tous ceux qui voulaient lui exprimer leur gratitude pour le message, sa visite et sa présence au Lesotho.

Vendredi 15 janvier 1999
11h30
Après une bonne nuit de repos et un petit déjeuner rafraîchissant au Lesotho Sun Hotel, Vassula et Georgia furent conduites à "Adeve Cragmal View", où demeurent Ad et Evelyn, pour rencontrer et remercier tous ceux qui avaient aidé à faire de la grande réunion un plein succès. Ulla avait amené un rosier à planter à "Adeve Cragmal View", comme cadeau en souvenir de la visite de Vassula ; voilà un geste intelligent ! Vassula le planta. Son parfum symbolisera la présence de la Sainte Trinité, ses épines l'acceptation des souffrances et la confiance en Dieu, et sa magnifique couleur rose les grâces et bénédictions de Dieu. Un coup d'oeil à la peinture de Vassula "homme Mosotho sur un cheval", dans le vestibule, et à la "rose de Vassula", dehors dans le jardin, viendra renforcer le Message et faire germer les semences d'une vraie vie en Dieu.

Nous avons tenu une séance de conclusion, qui s'est avérée très utile pour tous les concernés de la Vraie Vie en Dieu en Afrique du Sud et au Lesotho, et spécialement pour moi. En effet, c'était la première fois que j'étais impliquée dans l'organisation d'une réunion de la Vraie Vie en Dieu. Mais comme l'a dit Vassula, notre Père du ciel est très riche : Il nous a aidés fantastiquement. Merci, Jésus, pour avoir organisé Ta réunion !

15h30
Vassula, Georgia et nous, totalisant 10 personnes, nous sommes répartis en deux voitures pour rouler 45 km jusqu'à la magnifique "Roma Valley", nichée entre de magnifiques collines ondoyantes. Nous avons fait un pèlerinage sur la tombe du Bienheureux Joseph Gérard O.M.I., béatifié par le Pape Jean Paul II le 15 septembre 1988. Il fut le premier missionnaire à porter le christianisme (la foi catholique) au Basutoland (comme on appelait alors le Lesotho). Sa tombe forme une chapelle dans la nef orientale de la pro-cathédrale de Roma, Lesotho. Cette chapelle possède un autel, quelques bancs et deux tapisseries de mohair dépeignant la vie missionnaire du Bienheureux Joseph Gérard au Lesotho. Il y a également un grand portrait du Bienheureux Joseph Gérard O.M.I. peint par le père Ernest Ruch O.M.I. Le premier archevêque de Maseru, Mgr Emmanuel Mabathoana, est également enseveli dans la pro-cathédrale. Norman passa une partie de la journée à enregistrer des prises de vues.

Alors que nous étions sur le point de quitter Roma, nous avons rencontré un homme très intéressant, le "fermier". Il s'interrogeait sur notre petite troupe hétéroclite de Grecs, Basothos, Nigériens, Portugais, Sud-africains, et Belges. Nous lui avons raconté Vassula, cette mystique grecque et ses messages. " Atch ! " (exclamation sesotho exprimant la surprise émerveillée). " C'est impossible ", s'exclama-t-il, dubitatif. Mais un poster de Vassula, toujours fixé à la porte de la pro-cathédrale et annonçant sa réunion de la veille à Maseru, lui confirma que celle qui se tenait devant lui était bien Vassula. Heureusement, il pouvait s'exprimer un peu en anglais, ce qui permit à Vassula d'engager la conversation directement avec lui. Puis, il se tourna vers moi et dit : " Atch !!! je crois ! ... mais ce n'est pas possible ! Comment une personne vivante — pas encore morte —, peut avoir une conversation avec le Christ lui-même, entendre Sa voix et écrire Ses paroles sous dictée ! Atch !!! ". Alors, Vassula lui fit don de quelques menus objets de piété, un par un, par intervalle : une image sainte, ... puis un chapelet, ... puis une médaille. " C'est beaucoup trop pour moi ", dit-il. Il était bouleversé de joie et de gratitude.
Et pour couronner le tout, Vassula demanda à être photographiée avec lui. Il se redressa, repoussa en arrière son vieux chapeau de paille afin de bien montrer son visage tout entier, caressa sa joue gauche de son index avec trois doigts de la main, exagérant une pose qu'il voulait artistement avantageuse, tenant son ombrelle contre son torse. Il regarda droit dans la caméra, sans ciller, sans broncher ; " je vous en prie ", dit-il, avec un très grand sérieux. " Vous m'enverrez la photo lorsqu'elle sera prête, je veux la montrer à tous mes voisins dans le village, à mon curé là-bas, (il indiqua le presbytère voisin) et à toute la congrégation. Alors il leur faudra bien croire que moi, Philippe (il se battit la poitrine) — et pas un saint prêtre —, j'ai vraiment serré la main de cette dame chanceuse, voyante envoyée par Dieu lui-même pour approfondir notre foi. Je crains fort pour eux tous qu'ils ne puissent rien faire d'autre que croire, lorsqu'ils verront ma photo placée à côté du poster de cette heureuse dame ! "
Philippe est sans aucun doute l'un des "semeurs" (cf. Lc 8.4-15) des semences de la Vraie Vie en Dieu dans cette "Roma Valley". Quelques semences de sa bouche tomberont peut-être sur le scepticisme, sur le "bord du chemin" ; quelques-unes se perdront sur le "sol rocheux" ou encore parmi les "épines". Toutefois, certaines tomberont dans les oreilles croyantes, le "sol riche", d'où les groupes de la Vraie Vie en Dieu commenceront à croître, à fleurir, et à approfondir leur vie et leur foi.

Il y eut également deux séminaristes qui, après beaucoup de questions, ont promis avec ferveur de planter les semences, aussitôt qu'ils auront reçu les livres de la Vraie Vie en Dieu pour leur bibliothèque, au petit séminaire Ste Thérèse et au grand séminaire St Augustin. Tandis que nous roulions vers Maseru, nous avons fait un détour vers l'église de la mission St Michel, la première et la plus ancienne mission créée par le père Joseph Gérard. Sa première maison et l'église de sa mission sont toujours là à ce jour.

18h30
Nous sommes rentrés à nos hôtels et foyers respectifs pleins d'actions de grâce pour ces différentes rencontres de nature spirituelle au moment fixé par la providence pleine d'humour. Nous avons senti comme une bénédiction d'avoir pu ainsi accompagner Vassula et Georgia pratiquement toute la journée.

Samedi 16 janvier 1999
9h00
Evelyn conduisit Vassula au poste de frontière d'Afrique du Sud pour obtenir dans son passeport un tampon de sortie. Cela lui permettrait d'éviter, plus tard, d'attendre dans une longue queue alors qu'elle devait attraper à Bloemfontein son vol pour le Cap de Bonne Espérance. Tandis qu'on examinait leurs passeports, j'attendais dans ma voiture, parquée près d'un véhicule de police. Soudain, deux policiers me remarquèrent. " mm-hmm !... vous voyagez avec de bien belles dames ! " Je gloussai : " En effet ! et si vous voulez, je peux vous les présenter lorsqu'on aura fini d'estampiller leurs passeports ". Lorsque Vassula et Georgia revinrent, je les présentai aux deux policiers, leur expliquant qui était Vassula et pourquoi elle visitait le Lesotho. Ils eurent un mouvement de recul, embarrassés. Toutefois, ils écoutèrent Vassula avec un réel intérêt et lui posèrent d'innombrables questions. Ils ont demandé si ils pouvaient avoir les livres.

Lorsque nous sommes parties, j'ai divulgué leur réelle intention initiale, qui était simplement de faire un brin de causette ; nous avons bien ri. La Vraie Vie en Dieu a certainement des manières amusantes de se présenter aux âmes, même si leur motif initial n'est pas toujours clair.

Revenues du poste frontière sud-africain, nous sommes allées au Kings Grazing, quartier résidentiel du personnel diplomatique, à Maseru, dont une des maison fut occupée par Vassula, son mari et ses deux fils de 1982 à 1984. Nous nous sommes mis à chercher cette maison. Elle se souvenait qu'à l'une des extrémités de sa rue, il y avait un temple des Témoins de Jéhovah, et à l'autre extrémité, une loge maçonnique. Ce n'était donc pas la première maison, ... ni la seconde, ... ni la troisième, ... ni la quatrième. Soudain, eurêka ! " la voilà ! ", s'exclama Vassula avec surprise et jubilation ! Georgia et moi avons alors suivi son regard et regardé ce que pointait son index ; nous pouvions à peine croire ce que nous voyions : Sur la porte de bois était toujours fixée la petite planchette gris sombre où son nom était toujours là, écrit en lettres blanches ! J'étais renversée. Comment était-ce possible, après ces quatorze années ! Comment se fait-il qu'aucun des occupants ultérieurs (et il y en a eu plusieurs) n'ait jamais songé à remplacer ce nom par le sien ? Ce fut à mon tour de m'exclamer " Atch !!! "

11h
Lorsque Ad Lebona conduisit Norman à Ladybrand pour se rendre ensuite à l'aéroport de Bloemfontein, ils firent un détour à Kings Grazing pour fixer sur pellicule cette surprise inattendue du Lesotho : l'écriteau toujours fixé sur la porte de l'ancienne maison de Vassula. Jésus avait gardé cette dernière délicatesse jusqu'à la fin, comme à Cana, Il avait gardé jusqu'à la fin le meilleur vin.

13h
Au poste frontière d'Afrique du Sud, sur la route de l'aéroport de Bloemfontein, nous avons pu passer tout droit sans même sortir de la voiture ! Arrivés à l'aéroport, l'embarquement pour le vol de 15h50 pour le Cap était déjà annoncé et en cours. Nous avons embrassé Vassula et Georgia et nous nous sommes dit "au revoir" (en français), car nous espérons que, si Dieu le veut, nous nous reverrons l'an prochain, en l'an 2000, pour une nouvelle réunion à Maseru et peut-être également à Roma.

Quelle bienheureuse mini-odyssée spirituelle ce fut !

Louange et action de grâce à notre Père qui es aux Cieux, qui est si riche de bénédictions, de grâces et de Providence divine. Merci Vassula pour avoir inclus le Lesotho dans ta tournée africaine. Merci Georgia de l'avoir accompagnée.

Evelyn Lebona.

Vassula in Lesotho

Thursday 14 January 1999, 17H00 - 20H00
Meeting in Maseru Sun Cabanas, Conference Centre
Maseru Sun Hotel,
12 Orpen Road, Maseru Bag A84
Maseru